1916 : Dossier 7 : Sable

Mentor : Baker

Situation globale :

La guerre s'enlise en une guerre des tranchées et beaucoup d'espoirs sont fondés sur un assaut russe. Mais les russes subissent la pression de l'Empire Ottoman, allié de l'Allemagne, et ce en dépit des excellents rapports de l'officier anglais Thomas Lawrence qui travaille avec les forces locales pour renverser l'état en place.

Baker a besoin de comprendre pourquoi les effets ne sont pas au niveau escompté. Il emmène les Docteurs avec lui pour en profiter aussi pour retrouver un contact de la Multitude, Emile Blaise, archéologue et spécialiste de l'Egypte.


Rapport :

Pour entrer dans le territoire Ottoman, Baker et les Docteurs passèrent par le canal de Suez, neutre. Le long du chemin, les questions posées sur le professeur Blaise restèrent sans réponses.

Les Docteurs et leur Mentor débarquèrent ensuite pour pénétrer le territoire Ottoman et rencontrer Thomas Lawrence, dit "Lawrence d'Arabie". Il soutenait et travaillait avec Fayçal ben Hussein al-Hachimi, fils de Hussein ben Ali, chérif de La Mecque et roi du Hedjaz.

Ils ne furent pas long à comprendre que Thomas Lawrence était plus intéressé par construire sa légende que de s'investir dans sa mission. Pourtant, le plan construit avec Fayçal était bon car ses hommes devaient harceler les convois de train partant de Médine vers le nord. Baker profita du manque d'intérêt de Lawrence pour se rendre sur le théâtre des opérations et avoir les mains libres.

Les hommes de Fayçal étaient bien trop loin des convois pour intervenir, ce qui surpris les Docteurs. Ils finirent par admettre avoir peur des djinns qui défendaient les trains.

Les Docteurs menèrent les hommes au cœur de l'action, trouvant un site montagneux idéal comme point central des opérations. Mais quelque chose clochait. Docteur Tallon fit appel aux djinns pour révéler ce qu'il se tramait et la djinn lui montra que des soldats attendaient dans les grottes dans les hauteurs pour leur tendre une embuscade.

Et ces hommes étaient visiblement menés par un sorcier, car elle montra aussi comment celui-ci avait appelé une âme pour la fragmenter en deux, une part animant des chiens et des chauves-souris qui devinrent démoniaques, l'autre partie placée dans un objet appelé canope.

Puisqu'il fallait les affronter...

Le combat s'engagea en position défavorable pour les Docteurs et les hommes de Fayçal, car positionnés dans les cols, avec les adversaires les cernant de toute part. Par ailleurs, les chauves-souris et les chiens se lancèrent aussi à l'assaut.

Les chauves-souris émettaient des ultra-sons qui faisaient perdre l'équilibre et les chiens pouvaient aveugler grâce à leurs yeux luisants d'une lueur verte.

Mais c'était sans compter le commandement du Docteur Wong, organisant les troupes et concentrant le feu sur l'un des flancs.
C'était sans compter la précision méthodique du Docteur de la Gardière et du Docteur Ansfeld, précis et meurtriers.
C'était sans compter les enchantements du Docteur Tallon qui permirent d'enflammer les cibles des chauves-souris et éliminer ces forces.

Mais, alors que la combat faisait rage, Docteur Wong vit au loin, à l’entrée de l’une des grottes des montagnes, le sorcier préparer un rituel. Un rapide coup d’œil en direction des Docteurs Ansfeld et de la Gardière confirmèrent ses craintes : ils avaient été aveuglés par le pouvoir des gallitrots. Il décida donc de foncer, laissant le commandement à de la Gardière. Chacune de ses foulées fut ample, puis il grimpa utilisant des techniques que seul un maître des arts martiaux pouvait maîtriser atteignant la plateforme au moment où le sorcier allait déclencher son pouvoir. Il s’élança, concentrant son ki dans la paume de sa main et frappa son adversaire au torse qui fut projeté d’une puissance inouïe contre la paroi, lui brisant tous les os. Le corps sans vie du sorcier s’écroula au sol.

Docteur Tallon avait embrayé derrière Wong, sans toutefois parvenir à tenir son rythme. Lorsqu’il arriva au plateau, le sorcier était déjà mort. Toutefois, lui se rappelait des canopes, les objets qui contenaient la moitié de l’âme évoquée par le sorcier. En fouillant son cadavre, il trouva les objets et les brisa, libérant les créatures dans l’instant.

Les forces ottomanes finirent par céder, pris en chasse par les Docteurs et les forces de Fayçal. Seule une petite vingtaine de leurs ennemis parvint à fuir.

Le sorcier possédait deux cartes qui prouvait qu’il existait ici un chapitre affilié à Skull and Bones. Celui-ci avait un ordre de mission : Ils devaient contrecarrer les attaques des convois de train. En cas de coup dur, ils devaient rejoindre les Scarabées Nécrophages dans le ruines d’Hegra près de Médine Saleh avec la statuette de chien-serpent. Malheureusement, Docteur Tallon l'avait cassé en le prenant pour un canope.

Baker allait réorganiser et redéployer les hommes de Fayçal. Il laissa quelques hommes aux Docteurs pour se rendre à Hegra et investiguer. Il leur faudrait 4 jours à chameau pour atteindre Madain Salih et les ruines d’Hegra.

Le vestiges du site étaient énormes. Il s’agissait d’habitation troglodytes sur pratiquement cinq kilomètres carrés construit un bon millier d’années avant Jésus-Christ par les nabatéens.

Où chercher ?

Le site était si grand que même l’appel aux djinns du Docteur Tallon ne garantissait pas un succès. Mais il eut une idée : il s’agissait des Scarabées Nécrophages. Cela pointait vers la nécropole d’Hegra.


Effectivement, quelqu’un explorait les lieux. Comme ils étaient en possession de la statuette (brisée) de serpent-chien, ils pourraient peut-être bluffer les Scarabées Nécrophages. Et cela faillit marcher. Les gardes s’y laissèrent prendre mais les Docteurs virent que les fuyards du combat précédent avaient rejoint Hegra. Il advint ce qui devait arriver : ils furent identifié et les Docteurs durent faire parler la poudre. Heureusement, la surprise jouait pour eux et l’ensemble l’essentiel des Scarabées Nécrophages étaient au loin. Quant aux survivants, ils étaient désarmé. La victoire fut donc rapidement acquise !

Emile Baraize faisait parti des prisonniers. Il avait été capturé pour dénicher la tombe d’un égyptien évoqué dans le carnet de notes de Jean Louis Burkhardt, un explorateur suisse du 18ème siècle. Le carnet évoque la cavité XVIII, marqué sur le plan, avec un chiffre, le 11. Il a fait semblant de ne pas comprendre, mais il savait pertinemment qu’il s’agissait de la sourate XVIII, la sourate de la caverne, dont le verset 11 disait : « dans la caverne, nous avons frappé de surdité leurs oreilles pour de nombreuses années ».

La cavité marquée d'un XVIII sur les plans de Burkhardt avaient un accès en hauteur dans lequel se faufila le Docteur Wong. On n'entendait clairement le bruit de l'eau qui coulait dans les environs et selon les marques géologiques, elle devait s'écouler à l'origine par cette cavité. Et effectivement, Wong découvrit que cet écoulement avait été bouché. Il entreprit donc de percer un trou pour laisser couler un filet d'eau qui commença à remplir la cavité puis à s'écouler dans des couloirs naturels. Au bout de ces couloirs se trouvait un mur gravé d'un soleil qui contenait un mécanisme permet de le pousser et d'accéder à la tombe de l'égyptien.

Cette tombe contenait des parchemins décrivant la technique d'emprisonnement des âmes, qui permettait de lier un fragment d'âme à un animal ou à un objet, mais probablement plus encore (quoique dans l'ensemble, ces textes en arabe restèrent flous pour le Docteur Abdelkader). Et effectivement, le mort possédait deux sceptres, qui, une fois pris par Emile Baraize, semblèrent le transformer, peut-être ramener l'âme du défunt en son corps.

Mais les Docteurs Wong et Tallon furent prompts à réagir et à lui arracher les objets pour éviter qu'il ne puisse faire le moindre mal.

Ils décidèrent alors de ramener le tout à Baker.


De son côté, Baker avait entendu des rumeurs sur des mouvements de troupes suspects (dans le sens où elles n'avaient aucun sens stratégique). Il demanda donc aux Docteurs de se renseigner auprès des tribus bédouines.

Les Docteurs se mirent à la recherche de bédouins et trouvèrent l'un des cinq clans majeurs, les Banu Abs. Ceux-ci confirmèrent la présence de groupes de soldats à Hegra (où les Docteurs avaient été) et à Al-Ula. Les Banu Bkar n'étaient pas particulièrement content de l'Empire Ottoman, se sentant oppressés par des taxes abusives. Un plan germa dans l'esprit des Docteurs : et s'ils les combattaient. Mais les Banu Bkar ne le souhaitent pas sans aide des autres tribus. Alors, il suffisait peut-être de les rallier pour former un force panislamiste pour renverser le pouvoir?

C'est à ce moment là qu'une tempête s'éleva, provoquée par des djinns de l'air, rapidement embrasée par des djinns du feu. Mais Docteur de la Gardière appela un djinn pour s'enquérir et comprendre ce qu'il passait. Les djinns étaient en colère car des humains avaient enfermé leur maître dans un anneau, et ils en voulaient aux hommes. Les Docteurs demandèrent donc d'intercéder auprès des djinns en colères en promettant de le libérer. Les djinns de l'eau, présents eux aussi, donnèrent une vision du lieu et des événements : un homme qui se trouvait à des ruines avait enfermé le djinn dans un anneau.

Ces ruines étaient celles d'Al-Ula.

Les Docteurs s'y rendirent pour affronter les forces Ottomanes qui occupaient les lieux. Ils attaquèrent de nuit. Eliminant avec discrétion les gardes d'entrée, ils pénétrèrent dans le complexe.

Leur chef, un vampire, tenta une solution diplomatique, comptant sur ces pouvoirs d'hypnose. Mais les Docteurs, mû par leurs préceptes, n'hésitèrent guère à ouvrir le feu sur lui, car ils ne souhaitaient pas qu'il utilise la force du djinn. Ils visèrent donc la main ou il portait la bague, et ils finirent par éliminer toute la cellule.

Docteur De la Gardière invoqua le maître des djinn qui le récompensa d'un pouvoir d'invocation.

Le vampire possédait un laisser-passer pour le "F8". Qu'était-ce donc?

Mais il fallait retourner auprès de Baker. Le groupe fit donc le chemin du retour, muni de tous les documents présents à Al-Ula. Ils débriefèrent donc avec le Mentor.

Celui-ci avait eu le temps d'analyser les documents d'Hegra. Il y avait découvert les techniques de création de monstres, de possession, d'instillation d'âmes dans des objets et de création de vampires. Il en fit un récapitulatif rapide, ce qui ne manqua pas de frapper le Docteur Tallon : si on ne détruisait pas suffisamment le corps d'un vampire, celui-ci revenait à la vie.

Il allait falloir retourner à Al-Ula au plus vite. Il fit donc appel au pouvoir des djinns pour emmener les Docteurs au plus vite. Heureusement, le vampire qui ne supportait pas la lumière avait dû rester sur place toute la journée en attendant la nuit et il était donc à la merci de Tallon. Qu'il ne se cacha n'y changea rien. Le tir de fusil à bout portant dans le crâne fût une destruction du corps bien suffisante pour que celui-ci ne revienne jamais à la vie.

Il restait à organiser un soulèvement panislamiste au Hejdaz.

La tribu des Banu Abs était déjà convaincue.

Docteur Abdelkader alla parler aux plus fondamentalistes, les Banu Bkar, échaudés à l'idée de s'allier avec des infidèles contre des musulmans. Mais le Docteur rappela l'allégeance de l'Empire Ottoman avec l'Allemagne et leur soumission à Shaytan. Pour achever des les convaincre, il parla aux Al-Tamim qui faisaient foi en matière de lutte contre Shaytan et acheva de convaincre les deux tribus.

Les Docteur Ansfeld, Tallon et De Sleighterhouse s'occupèrent des Bin Taglib, qui se révélèrent des chrétiens d'Orient. Jouant sur leur capacité à se comprendre bien que de nationalité différente (Ansfeld était allemand, Wong japonais, Abdelkader marocain), ils motivèrent les Bin Taglib à se joindre à l'alliance.

Le Docteur De La Gardière s'occupa des Ibn Shammar, qui craignaient le joug qui pourrait leur être imposé en cas de victoire. Mais le Docteur leur démontra que l'Empire Ottoman serait un pouvoir bien pire dès que la guerre serait finit et il négocia avec Baker pour que la France apporte son soutien si les choses dérapaient après la guerre.

C'est ainsi qu'ils unifièrent les tribus contre l'Empire Ottoman.

Il ne restait plus qu'à résoudre la question du "F8". Les tribus leur apprirent que le "F8" était le Führwerk 8, un wagon de haut dignitaire qui voyageait entre Médine et La Mecque.

Ils s'attaqueraient donc à cette cible prioritaire!

Les Docteurs firent préparer une embuscade sur la ligne du chemin de fer. Mais une partie d'entre eux infiltreraient le train, muni de l'autorisation du vampire.

Ce fut ainsi que les Docteurs de Sleighterhouse, de la Gradière, Ansfeld et Tallon embarquèrent sur le train de l'armée, en se faisant passer pour des journalistes de guerre. Ils remontèrent ainsi le train, utilisant leur autorisation a son meilleur effet, jusqu'à atteindre le wagon numéro huit.

Celui-ci était gardé par des soldats ottomans spéciaux, armés de sabres et armes à feu, muscles tendus et regards fous. Ils bouillonnaient d'une rage contenue. Toutefois, face au laisser-passer, ils autorisèrent les Docteurs à entrer. Le wagon était cossu, digne du Baron Von Sebbotendorf, un officier gradé allemand qui voyageait ici. Sebbotendorf était accompagné d'un bel éphèbe arabe.

La discussion s'engagea mais rapidement, Juliette de Sleighterhouse fut subjuguée par les charmes de l'arabe, et dû sortir, probablement pour se calmer quelque peu. Quand à Sebbotendorf, il ne semblait pas vraiment gober cette histoire de reportage. Dès que le Docteur Tallon quitta le wagon pour suivre de Sleighterhouse, il usa du pouvoir de soumission de son regard pour immobiliser les Docteurs Ansfeld et de la Gardière, qui ne manquèrent certes pas de s'enflammer par les pouvoirs du djinn du Docteur Tallon, mais qui ne purent empêcher de se faire capturer.

Non au fait de la situation, le Docteur Tallon fut le prochain capturé. Juliette de Sleighterhouse serait la suivante.

La situation était compliquée. La garde rapprochée de Von Sebbontendorf avait ligoté les Docteurs et le Baron était prêt à les interroger. Mais il ne put empêcher l'appel aux djinns du Docteur Tallon qui ramena tout le monde en lieu sûr au point de l'embuscade.

Il ne restait donc plus que l'option de mener l'embuscade. Heureusement, Von Sebbotendorf ne s'imaginait pas qu'il serait victime d'une attaque si peu de temps après la tentative échouée par les Docteurs.

Les hommes de Fayçal, les tribus bédouines, les Docteurs, tous étaient embusqués dans un petit défilé montagneux.

Le Docteur Tallon avait posé des explosifs pour faire dérailler le train. Le Docteur de la Gardière avait opté pour sa spécialité de tireur d'élite et s'était pris une position à couvert pour maximiser son efficacité. Le Docteur Ansfeld avait le choix de tirer d'une position en hauteur, mais à proximité de la voie ferrée. Quant aux Docteurs Wong et de Sleighterhouse, ils avaient opté pour monter un chameau et mener un assaut avec un petit groupe d'hommes.

Le train devait ralentir avant le passage dans le défilé et les ottomans furent rudement secoués à l'activation des explosifs par le Docteur Tallon.

La menace principale provenait des lourdes mitrailleuses qui défendaient le train, mais le déraillement des wagons avait mis-à-mal leur possibilité de tirs et les Docteurs Ansfeld, de la Gardière et Tallon prirent pour cibles les soldats qui maniaient ses armes de guerre.

Les cibles de Wong et de Sleighterhouse se trouvaient dans le train mais ce fut Wong le premier à pénétrer dans le train. Il filait de wagon en wagon en frappant les soldats pour atteindre le wagon de Von Sebbotendorf.

Le temps pressait car, à l'extérieur, une tempête de sable se levait et il devenait incandescent. Alors, le Docteur de la Gardière en appela au djinn Zoubir pour contrecarrer les effets, cependant que Ansfeld, Tallon et de Sleighterhouse cherchaient un accès au wagon 8 sous le feu des soldats ottomans.

Tous convergèrent vers ce nœud central. Déjà Wong, usant de son ki pour vaincre les tchétés du Chapitre Ottoman, ces soldats auxquels on avait instillé un fragment d'une âme damnée. Puis les autres Docteurs, malgré l'embrasement des djinns rendus fous par l'incube et combattus par Zoubir.

Von Sebbotendorf tenta bien de fuir en prenant l'apparence d'un soldat, mais il fut cueilli par un dernier tir ajusté de Jean-Yves de la Gardière, sellant le sort de ce groupe. Parmi ses affaires, une lettre qu'il avait reçu se révéla d'importance, et voici son contenu :




Mon cher,

Ta vantardise et ta mythomanie confine au pathétique. J’aimerai te rappeler que tes protégés ont failli ouvrir les portes de l’enfer un an avant Skull and Bones et qu’il nous a fallu intervenir en urgence pour sauver le sultan et éviter le double meurtre royal requis pour ce rituel. Alors cesse de prétendre que tu contrôle parfaitement le chapitre 148.

Par ailleurs, si les dirigeants sont à la tête du Cemiyeti, ce qui leur donne leur donne un pouvoir immense grâce à l’état, il me semble, si j’en juge par tes informations, qu’ils restent peu nombreux.

L’autre point sur lequel je dois te mettre en garde, c’est sur le maître de Skull and Bones, Edward Talbot. Je me suis renseigné auprès de multiples démons, et j’en ai trouvé qui évoquent avoir été asservis par un sorcier de ce nom au 17ème siècle déjà. Il existe un lord anglais du même nom ayant vécu au XVIème siècle. Il est donc beaucoup plus ancien et puissant que ce que j’imaginais. Et il a des yeux partout. Je voulais leur voler leur science des méphites, mais l’armée allemande a frappée fort pour en conserver le contrôle. Je pensais que nous prendrions le contrôle de l’organisation avec aisance. Mais je n’en suis plus sûr.

Redouble de prudence. Ta position en Orient fausse ta perception des choses. La partie sera serrée et méfie toi d’Anna Sprengel. Tu penses qu’elle avale tes mensonges et que tu la dupes. Mais elle est très perspicace et, même si je n’en ai pas la preuve pour le moment, je pense qu’elle est l’une des nôtres. Je crois qu’elle a choisie volontairement de devenir l’un des acolytes principaux de Talbot. Il pourrait y en avoir d’autres. Donc n’accorde pas ta confiance aux nôtres sans réserve.

Je ne souhaite pas finir vulgaire serviteur d’un humain.

A.C.